Syntec-Ingénierie s’est mis en ordre de bataille pour défendre les intérêts de ses membres et les aider à maintenir leur activité pendant la crise.
LES POSITIONS QUE NOUS AVONS DÉFENDUES
- Sur l’activité partielle
Dans le contexte de crise, les entreprises d’ingénierie se sont majoritairement organisées pour développer, dans le cadre de leur activité étude ou conseil, le télétravail. Cette solution n’est viable à long terme que si les donneurs d’ordre publics ou privés sont en mesure de maintenir les projets en phase étude/conception, en organisant la délivrance des validations, la fourniture des données d’entrée et le règlement des factures. Pour les opérations en phase d’exécution, nécessitant une intervention des ingénieries sur les chantiers industriels ou de construction, Syntec-Ingénierie a souhaité avoir la garantie que les entreprises d’ingénierie puissent être éligibles au mécanisme d’activité partielle.
- Sur l’arrêt des chantiers
La reprise de l’activité doit être conditionnée par la mise en place de toutes mesures nécessaires à la sécurité sanitaire des salariés. Dans le cas inverse, Syntec-Ingénierie demande à ce que l’arrêt des chantiers soit notifié par les maîtres d’ouvrage. Il est par ailleurs nécessaire de faciliter la juste indemnisation des entreprises d’ingénierie qui auront dû s’adapter en cas d’arrêt de chantier, notamment dans le cadre des marchés publics.
- Sur les mesures d’assouplissement
Syntec-Ingénierie souhaite que souplesse et flexibilité soient apportées par les donneurs d’ordre dans les délais de réponses aux appels d’offres et que les procédures administratives soient simplifiées pour permettre le paiement à échéances des factures dues aux entreprises.
- Sur le maintien des appels d’offres publics en cours et futurs
Les entreprises d’ingénierie ont besoin, pour faire face à l’avenir de disposer de visibilité. C’est pourquoi Syntec-Ingénierie appelle au maintien des appels d’offres en cours et à venir.
Pour plus d’informations : Anne Zimmermann / a.zimmermann@syntec-ingenierie.fr