
Des études pour anticiper et prévenir les risques de crues sur le bassin Loire Bretagne
Viviece Saint-Eloi, opérateur géotechnicien à Ginger CEBTP, est photographié devant un atelier de sondage situé aux abords de la Loire.
Pour protéger le Val d’Authion contre les crues, plusieurs chantiers de renforcement de la levée de la Loire ont été programmés.
Les équipes de Ginger CEBTP sont intervenues pour la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Centre-Val de Loire pour des travaux d’investigation et d’études géotechniques. Ils ont réalisé et analysé plus de 150 sondages sur les 70 km de digues du Val d’Authion.
La photo a été réalisée à Gennes-Val-de-Loire (49), le 4 août 2021 par Victor Tonelli.

Un puits de grand diamètre pour étudier les phénomènes de migration de pollution
L’équipe Antea Group est photographiée au cœur d’un puits en grand diamètre avec soutènement en maçonnerie.
Elle est constituée de gauche à droite de Christophe Poinclou, Responsable du laboratoire d’Antea Group, Laurence Huchet, Responsable Activité Géotechnique de la Région ICN / Adjoint au chef de projet sur l’opération, Alexandre Valenziano, Ingénieur de projets / Adjoint au chef de projet sur l’opération et Charles Edouard Nadim, Direction Technique.
Réalisé pour le compte du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), le puits s’inscrit dans un projet scientifique visant du calcaire de Beauce dans la zone non saturée du territoire de Villamblain, afin de comprendre les phénomènes de migration de polluant et micropolluant. De ce fait, il est capital que l’ouvrage ne perturbe pas le milieu, tant sur les plans hydrogéologique, géochimique, qu’électrique et magnétique. En complément, le puits doit être équipé de sorte que les équipes scientifiques puissent accéder à tout niveau du puits et réaliser des forages subhorizontaux, mettre en place des équipements, faire des prélèvements et mesures, etc.
Pour répondre à ces multiples contraintes, Antea Group a été en charge de la conception de l’ouvrage et de sa bonne exécution. Ce puits hors-norme est caractérisé par : l’absence de béton en contact direct du terrain, l’absence de ciment courant, l’absence d’élément métallique, ou encore l’absence de traitement des planchers à mettre en place, tout en garantissant une étanchéité de l’ouvrage fini, ainsi qu’une pérennité de plusieurs décennies. Un travail extrêmement technique pour un puits de 20 mètres de profondeur, 6 mètres de diamètre de creusement et 4 mètres de diamètre fini. Des études spécifiques pour la définition des matériaux ont été menées lors de la conception, complétées par des mesures physiques lors du creusement et de la phase remontante. Ce projet a été mené par Bouygues Travaux Publics.
La photo a été réalisée à Villamblain (45), le 1er septembre 2021 par Victor Tonelli.

Le plus long téléphérique de France
L’équipe ALIOS est photographiée devant Téléo.
Elle est composée de gauche à droite de Margaux Conso, ingénieure géotechnicienne et Vincent Silvestre Brac, ingénieur géotechnicien.
Ce téléphérique urbain sera mis en service en 2021 pour faciliter les déplacements du sud de Toulouse en toute sécurité. Il permettra de relier l’Oncopole à l’Université Paul Sabatier (30 000 étudiants) en passant par l’hôpital de Rangueil (210 000 consultations médicales par an) en 10 minutes seulement.
Les ingénieurs d’ALIOS ont accompagné Tisséo-Ingénierie dans le suivi du chantier et la validation des documents d’exécution pour l’ensemble du projet, incluant aussi bien les stations que les pylônes.
La photo a été réalisée à Toulouse (31), le 28 juillet 2021 par Lionel Hahn.